

Yasmine Berriane
Laetitia Grotti
Journaliste en presse écrite depuis 15 ans, elle est installée au Maroc depuis 1998. Elle a exercé dans les principaux titres de la presse indépendante et a travaillé comme consultante pour une ONG dans le domaine des droits humains. Elle a exercé également en free-lance, en presse Ã...
Voir l'auteur ...La peinture: des passionés au businessmen
Entre un Jilali Gharbaoui, retrouvé mort en 1970 à 41 ans sur un banc parisien, et un Mahi Binebine dont le succès de l’art est reconnu partout de son vivant, il y a un long combat. L’histoire et l’évolution du secteur des arts plastiques se sont faites en dents de scie, ponctuées par l’entrée en jeu d’acteurs économiques de tailles et de natures différentes. Le récit d’une fabuleuse aventure.

Aicha Barkaoui

Meriem Rodary

Hasna Hussein
Le boom des entreprises de la musique
Une nouvelle génération d’entreprises de musique voit le jour. Une émergence en étroite relation avec la montée des NTIC ainsi qu’avec le dynamisme des nouveaux groupes et l’explosion des festivals. Les fonctions des structures ont muté pour accompagner le nouveau contexte. L’économie classique de la musique marocaine doit obligatoirement s’inventer de nouveaux modes de gestion et de management.

Omar Benjelloun

Merieme Yafout
Kenza Sefrioui
Kenza Sefrioui est docteur en littérature comparée, de l'Université Paris IV-Sorbonne. Publications: « Warda, Ambre, Sherazade et les autres », in Mohamed Leftah ou le Bonheur des mots, ss. dir. Abdellah Baïda, Casablanca, Tarik édition...
Voir l'auteur ...Le livre en mal de formalisation
Pour 30 millions d’habitants au Maroc, la production des livres culturels, toutes langues confondues, ne dépasse pas 1000 titres par an. En France, on en publie 60 000 pour 60 millions. Le secteur du livre a raté son décollage. En trente ans, l’absence de politique étatique cohérente l’a condamné à la stagnation et au bricolage. Et le rafistolage n’a pas accouché d’entreprises du livre viables et utiles.
