Yasmine Berriane

La peinture: des passionés au businessmen

La peinture: des passionés au businessmen

Entre un Jilali Gharbaoui, retrouvé mort en 1970 à 41 ans sur un banc parisien, et un Mahi Binebine dont le succès de l’art est reconnu partout de son vivant, il y a un long combat. L’histoire et l’évolution du secteur des arts plastiques se sont faites en dents de scie, ponctuées par l’entrée en jeu d’acteurs économiques de tailles et de natures différentes. Le récit d’une fabuleuse aventure.

Aicha Barkaoui

Meriem Rodary

Hasna Hussein

Le boom des entreprises de la musique

Le boom des entreprises de la musique

Une nouvelle génération d’entreprises de musique voit le jour. Une émergence en étroite relation avec la montée des NTIC ainsi qu’avec le dynamisme des nouveaux groupes et l’explosion des festivals. Les fonctions des structures ont muté pour accompagner le nouveau contexte. L’économie classique de la musique marocaine doit obligatoirement s’inventer de nouveaux modes de gestion et de management.

Omar Benjelloun

Merieme Yafout

Le livre en mal de formalisation

Le livre en mal de formalisation

Pour 30 millions d’habitants au Maroc, la production des livres culturels, toutes langues confondues, ne dépasse pas 1000 titres par an. En France, on en publie 60 000 pour 60 millions. Le secteur du livre a raté son décollage. En trente ans, l’absence de politique étatique cohérente l’a condamné à la stagnation et au bricolage. Et le rafistolage n’a pas accouché d’entreprises du livre viables et utiles.

Nassima Moujoud

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