Le livre en mal de formalisation

Le livre en mal de formalisation

Pour 30 millions d’habitants au Maroc, la production des livres culturels, toutes langues confondues, ne dépasse pas 1000 titres par an. En France, on en publie 60 000 pour 60 millions. Le secteur du livre a raté son décollage. En trente ans, l’absence de politique étatique cohérente l’a condamné à la stagnation et au bricolage. Et le rafistolage n’a pas accouché d’entreprises du livre viables et utiles.

Nassima Moujoud

Hicham Mohamed BOUAYAD

Abdelali Benamour

N. Tazi : le pragmatisme facilite la créativité

N. Tazi : le pragmatisme facilite la créativité

Nous avons soumis les principaux résultats de notre étude sur la typologie des entrepreneurs du secteur culturel à l’appréciation de l’une des entrepreneuses les plus expérimentées de celui-ci « peu d’entreprises font de la conception et de la production culturelles. Le secteur n’est pas assez porteur »a-t-elle affirmé. Il y a surtout de petites et moyennes structures qui font ce métier par passion.

Julien Duval

Beybin Kejanlıoğlu

Rodney Benson

En quête d'économie de la culture

En quête d'économie de la culture

Cet article retrace l’évolution historique du secteur culturel, ainsi que ses récentes transformations. Le produit culturel a aujourd’hui le mérite d’exister, il ne peut toutefois rester dépendant du mécénat et non d’une activité professionnelle rentable et stable. Il doit également être consommé. Les chiffres prouvent que la demande est bien basse. L’économie de la culture dictée par le haut est-elle viable?

OğuzhanTaş

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