D. Cardon : La coupure entre le réel et le virtuel s’affaiblit

D. Cardon : La coupure entre le réel et le virtuel s’affaiblit

L’un des chercheurs les plus réputés pour la qualité de ses travaux sur les réseaux sociaux en ligne nous livre ses réflexions sur les ruptures créées par le virtuel, et son impact sur les liens sociaux et les changements politiques.
Smart power : une vision renouvelée du pouvoir

Smart power : une vision renouvelée du pouvoir

Depuis son investiture, l’administration Obama semble faire du Smart Power son credo. Dans un article publié dans le New Statesman le 18 juillet 2012, intitulé « The art of the Smart Power », la Secrétaire d’État américaine Hillary Clinton pousse au maximum la doctrine du « Smart Power ». Elle le présente comme « La philosophie » de la politique étrangère américaine.

Cyberactivisme au Maghreb

Cyberactivisme au Maghreb

Si les réseaux sociaux sur Internet ont contribué au développement des protestations publiques, il est également indéniable que c’est le développement de ces dernières qui a rendu possible l’utilisation extensive des réseaux sociaux. Analyse comparée du phénomène de cyberactivisme au Maroc, en Algérie et en Tunisie.
Médias numériques au Maroc : le printemps émergent

Médias numériques au Maroc : le printemps émergent

Les RS au Maroc sont un phénomène qui semble subir les retombées de son succès. Ils suscitent en effet une question relative à l’usage, essentiellement politique, qui en est fait, dans la mesure où chaque camp essaie d’investir, d’utiliser et de manipuler cette virtualité pour impacter l’opinion publique. Les manœuvres des conservateurs favorables au pouvoir dominant, comme ceux des mouvements contestataires - ceux du 20 février notamment - sont l’une des illustrations manifestes de cette ambition politique.

Quand le virtuel devient arabe

Quand le virtuel devient arabe

De la blogomania à la prolifération d’usagers de réseaux sociaux, l’engouement tardif et accéléré pour les réseaux sociaux dans le monde arabe génère des chiffres qui donnent le tournis et dont l’interprétation hâtive peut s’avérer trompeuse.
Les reseaux sociaux, ça chiffre...

Les reseaux sociaux, ça chiffre...

Quels intérêts et avantages réels offrent-ils aujourd’hui ? Quelles promesses pourraient-ils tenir pour un avenir plus équitable ?
L’etat, la terre et le Gaouri

L’etat, la terre et le Gaouri

Les litiges liés au foncier seraient une entrave majeure à l’investissement, notamment étranger. Les statuts existants ne permettent pas toujours une mobilisation des terres mais les voies de contournement existent. Ecrit dans le cadre d’un dossier sur la place de l’étranger dans l’économie marocaine, cet article aborde, à partir d’une connaissance fine du terrain, davantage les pratiques que les règles.
Mouvement de déshérites : une gestion 'makhzenienne'

Mouvement de déshérites : une gestion 'makhzenienne'

La transformation des revendications sociales en revendications démocratiques représente l’enjeu majeur de la situation politique marocaine. Partant de la gestion des protestations puis des demandes pressantes provenant des diplômés chômeurs et autres catégories défavorisées et la logique d’assistanat, de prime du silence et de rente entretenue par le gouvernement, cet article tente d’expliquer une excroissance.
Au gouvernail d’entreprises familiales

Au gouvernail d’entreprises familiales

Entre famille et modernité, il y a parfois un hiatus que seuls des successeurs téméraires ou des consultants externes permettent de dépasser. Deux spécialistes de la gouvernance d’entreprises nous aident à comprendre si les boîtes familiales marocaines résistent ou accélèrent le pas. Pérennisation, mise en place de contre-pouvoirs, rationalisation, vision à long terme, tout y passe pour un état des lieux sommaire.
Environnement, pour une gestion communautaire

Environnement, pour une gestion communautaire

Le projet SCI-SLM1, «Appuyer les initiatives communautaires de gestion durable des terres» a pour principal objectif l’identification des formes d’innovation communautaire en matière de gestion des terres parmi des communautés paysannes de quatre pays d’Afrique : Ghana, Maroc, Afrique du Sud et l’Ouganda. C’est le GEF2, à travers son budget «Land Degradation Focal Area», qui finance ce projet et le Centre de coopération internationale d’Amsterdam en assure l’appui méthodologique.

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