Le manager subjectif
Aujourd’hui je prends le contrepied des postulats objectivistes du management en insufflant une petite dose de subjectivité. Je m’explique.
Aujourd’hui je prends le contrepied des postulats objectivistes du management en insufflant une petite dose de subjectivité. Je m’explique.
Un tweet, en plus d’être un message bref, précis et percutant en ligne, est également un gazouillis, l’alerte d’un son venu d’ailleurs, et dans une définition moins châtiée, un pet, une flatulence provenant de l’intérieur de soi. Ainsi va l’étymologie au début du XXI° siècle, elle puise dans la culture pop américaine ses origines lexicales, comme hier, les tenants de la haute culture le faisaient à partir des racines en latin.
Le titre et le succès de l’ouvrage de Michael A. Klein, docteur en psychologie et consultant aux Etats-Unis auprès de nombreux dirigeants d’entreprises familiales, petites et grandes, nous rappelle une fois de plus que ces organisations sont des « êtres à part » qui ont besoin que l’on s’intéresse à eux. On ne peut en effet s’arrêter à leur dimension financière ou organisationnelle, et les travaux des psychologues et sociologues leur donne une dimension supplémentaire.
Le taux de chômage dans la zone de l’OCDE s’élevait à 7.9 % en mai 2012, ce qui correspond à environ 48 millions de personnes sans emploi – presque 15 millions de plus que lorsque la crise financière a éclaté à la fin de 2007. Les projections économiques de l’OCDE de mai 2012 indiquent que la création d’emplois restera faible dans de nombreux pays de l’OCDE et que le chômage dans cette zone pourrait se situer toujours aux alentours de 8 % à la fin de 2013.
Alors que cela faisait quelques mois que je fréquentais le monde académique des chercheurs en Gestion dans une ville française après avoir quitté celui des praticiens des multinationales, j’ai décidé de m’inviter dans une conférence organisée par une association professionnelle de logistique.
Jiro Ono, chef sushi japonais, est une légende vivante. Depuis plus de 70 ans il améliore son art. Le Japon l’a déclaré « Trésor National » et les spécialistes du Guide Michelin lui ont accordé 3 étoiles. Pourtant le « restaurant » est installé dans le métro de Tokyo, il ne dispose pas de toilettes privées et ne peut accommoder que 10 convives en même temps sur des tabourets de bar.
Les diplômés chômeurs marocains ont mené un bras de fer avec l’actuel gouvernement depuis son investiture ; ils ont d’ailleurs mené des batailles depuis 1999 et réussi à faire relativement fléchir tous les gouvernements précédents .L’effet de cette confrontation est surtout de pousser l’Etat à faire des recrutements plus généreux pour l’administration et le secteur public, de prendre des mesures d’exception pour éviter les procédures plus strictes de recrutement et de faire ainsi intégrer à la fonction publique de nouvelles générations de démotivés .
L’octroi d’une Ligne de Précaution et de Liquidité(LPL) par le FMI au Maroc, sous le gouvernement Benkirane, représente un signal économique fort.
A l’occasion de ses 25 ans, HEM publie à travers son centre de recherche Economia et avec les éditions EMS-Paris, le premier ouvrage d’études de cas en Management consacré aux pratiques des entreprises marocaines intitulé « Management des entreprises dans les pays du sud : 12 études de cas réelles du Maroc ». Pour la première fois au Maroc, enseignants, universitaires et entrepreneurs ont enfin à leur disposition des cas d’entreprises marocaines confrontées à des problématiques très diverses ancrés dans leurs réalités. Les cas étudiés concernent les entreprises suivantes : KITEA, HEM, LABEL VIE, SICOPA, MARWA, LIVRE MOI, AFRIQUE CHALLENGE, TOYOTA, BMCE BANK ET L'OFFICE CHERIFIEN DES PHOSPHATES (OCP).
Enseignante chercheure à Economia, HEM Research Center depuis 2009, coordinatrice de la chaire Management International et Sociétés, Caroline Minialai est diplômée de l’EDHEC. Elle obtient en 2000 après 8 ans audit et direction financière, l’agrégation en économie et gesti...
Lire la suite ...Cet ouvrage rassemble une anthologie des contributions présentées lors des journées d’études organisées à Casablanca en 2010 par deux centres de recherche, Economia, le centre de recherche de HEM , l’une des plus grandes business schools marocaines et Magellan de l’Institut d’administration des entreprises (IAE) Lyon, sur le thème : « Délocalisations-relocalisations : quelles implications économiques et managériales ? ».