Leçons de chez nous et d’ailleurs
La stabilité de l’emploi est un facteur de cohésion sociale et de stabilité du modèle politique.
La stabilité de l’emploi est un facteur de cohésion sociale et de stabilité du modèle politique.
Si je devais penser à un mot qui aurait illustré les controverses de l’année 2012 au Maroc, je penserais au mot « jeunes » ; le regain de visibilité des «jeunes» avec le Mouvement du 20 février en 2011 a attisé en 2012 les débats sur leur faible participation à la vie publique – aussi bien politique qu’économique – considérée comme un problème structurel et endémique du système marocain.
Alors que je tentais de déchiffrer les énigmes du dernier bulletin du HCP sur l’état de l’emploi au Maroc en 2012, je me suis trouvé distrait par un article de SudOuest.fr sur la situation de la même problématique en France. Celui-ci s’intitulait : « Sans piston, pas de boulot ? ».
Parfois l’entreprise familiale a besoin d’un psy. Il ne s’agit pas d’une histoire drôle mais bel et bien d’une conclusion à laquelle arrivent fréquemment ceux qui accompagnent les entreprises familiales au quotidien.
Les entreprises familiales ont de grandes difficultés à composer avec la logique du marché financier. La maîtrise de leurs relations de financement avec les bailleurs de fonds, rendue difficile par un enclavement informationnel particulier, se trouve davantage aggravée par le manque de clarté des décisions financières prises.
Les théoriciens des organisations ont toujours eu recours à des modèles implicites ou explicites des phénomènes organisationnels : stratégies, structures, culture, changement, pouvoir, etc. La majeure partie de ces modèles privilégie soit un principe téléologique interne fondé sur la linéarité de la cause et de l’effet, soit un principe externe structuraliste dans l’explication de la vie organisationnelle. Deux types de modèles largement répandus en sciences des organisations nous permettent d’illustrer ce dualisme méthodologique interne/externe.
La transmission de l’entreprise familiale privilégie dans de nombreux pays les fils sur les filles pour continuer de veiller sur l’avenir du patrimoine. Même si les ainés, les transmetteurs, considèrent lorsqu’ils sont interrogés que la compétence est le critère déterminant pour choisir un successeur, dans les faits les fils sont le plus souvent préférés à leurs sœurs.
Investir est, sans conteste, l’un des critères cruciaux pour le succès des entreprises familiales. Mais suffit-il d’investir ?