Liberté et surveillance

Depuis le déclenchement de l’affaire NSA sur la complicité des multinationales d’information (Google, Youtube, Facebook, etc.) et les Etats démocratiques en mal d’information sur leurs citoyens prétendument libres, plusieurs semblent à peine découvrir la face cachée des réseaux sociaux. Voilà qui permet de nous sortir de l’idyllisme post-2011, où Facebook et Twitter sont devenus abusivement des synonymes dans le virtuel de « quartiers généraux des révolutionnaires ». Non que l’expression soit fausse, mais partiellement vraie.

Pour des emplois durables !

Le gouvernement espagnol de droite a quelques motifs d’espérer. Si  les chiffres officiels  du mois de juin annoncent encore 4.763.680 demandeurs d’emplois, on constate depuis quatre mois une  baisse  continue. Une bonne nouvelle  même si elle est encore loin de satisfaire toutes les populations concernées  et   demeure relativement discriminatoire ; plus favorable aux hommes qu’aux femmes. Le nombre total de femmes se trouvant sans-emplois s’élève à 2.431.071, contre 2.332609 hommes en chômage, selon la même source.

HACI BEKIR : Une très vieille dame !

La plus ancienne entreprise  et marque turque, Ali Muhiddin Haci Bekir a 235 ans, et a vu le jour en 1777.  Cette très vieille dame est née lorsqu’un jeune apprenti confiseur Bekir Effendi  s’installe à Istanbul. Ayant quitté sa région natale sur les bords de la Mer Noire, il fait ses premières armes aux côtés d’un confiseur stambouliote.

Le disque du moment

Je suis actuellement en train d’écrire une nouvelle pièce de théâtre intitulée, « N’enterrez pas trop vite Big Brother ». A chaque fois qu’un proche me demande curieusement pourquoi ce titre, il a en tête deux suppositions : 1- Laisserais-tu entendre après tout ce qui s’est passé dans nos sociétés, que Big Brother soit toujours en vie ? 2- Voudrais-tu dire par là qu’il faut prendre tout son temps pour mieux enterrer Big Brother ?

Une éthique pour décoller

On a l’impression aujourd’hui que parler de l’emploi et des politiques de ce domaine ne font que meubler  les débats publics sans pour autant apporter de véritables solutions .Un fatalisme s’installe ; les décideurs croient désormais que la croissance n’étant pas au rendez vous de l’économie mondiale, l’économie marocaine si dépendante  de celle-ci  ne peut mieux faire que d’attendre des jours plus cléments.

Amis anthropologues, à la rescousse !?

Assis à la terrasse d’un café et au détour d’une conversation, j’entends un étranger très propre sur lui s’offusquer du manque d’écrits concernant la « fameuse » mentalité marocaine. Le défaut bien placé d’un chercheur, d’un journaliste, ou d’un observateur juste curieux prête l’oreille pour en savoir plus, ce que nous tous avons déjà fait. Bien ou mal, j’ai rapidement laissé de côté ma mini crise de conscience et écouté cet homme qui parlait avec son collègue.

L’épreuve incontournable du rire

La station radio allemande Deutsche Welle a une manière bien à elle de suivre l’actualité du monde arabe. Que pensez-vous des émissions humoristiques qui sont nées après les révoltes ? La question posée ainsi par la journaliste désigne deux phénomènes précisément : les guignols de l’info sur la chaîne satellitaire tunisienne Nesma TV et Al Barnameg, l’émission qu’anime l’humoriste Bassam Youssef sur la chaîne privée égyptienne, CBC. Après avoir répondu à cette sollicitation, je n’étais pas tout à fait sûr d’avoir épuisé le sujet.

Entreprise familiale et capital-investisseurs

Pourquoi la communauté financière se montre particulièrement réticente à financer les entreprises familiales ? Dans ce billet nous nous intéressons aux éléments qui structurent le processus de négociation entre firmes familiales en transition et les capital-investisseurs et les éléments de risque perçus dans ce type de relation.

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