Mon entreprise, c’est mon bébé !
Propriété Psychologique dans les entreprises familiales[1]
Propriété Psychologique dans les entreprises familiales[1]
Mon dernier article a porté sur l’enseignement par les pairs, méthode pédagogique développée par Eric Mazur. Je souhaiterais ici soulever deux points en complément à cette publication.
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On a l’impression aujourd’hui que parler de l’emploi et des politiques de ce domaine ne font que meubler les débats publics sans pour autant apporter de véritables solutions .Un fatalisme s’installe ; les décideurs croient désormais que la croissance n’étant pas au rendez vous de l’économie mondiale, l’économie marocaine si dépendante de celle-ci ne peut mieux faire que d’attendre des jours plus cléments.
Assis à la terrasse d’un café et au détour d’une conversation, j’entends un étranger très propre sur lui s’offusquer du manque d’écrits concernant la « fameuse » mentalité marocaine. Le défaut bien placé d’un chercheur, d’un journaliste, ou d’un observateur juste curieux prête l’oreille pour en savoir plus, ce que nous tous avons déjà fait. Bien ou mal, j’ai rapidement laissé de côté ma mini crise de conscience et écouté cet homme qui parlait avec son collègue.
La station radio allemande Deutsche Welle a une manière bien à elle de suivre l’actualité du monde arabe. Que pensez-vous des émissions humoristiques qui sont nées après les révoltes ? La question posée ainsi par la journaliste désigne deux phénomènes précisément : les guignols de l’info sur la chaîne satellitaire tunisienne Nesma TV et Al Barnameg, l’émission qu’anime l’humoriste Bassam Youssef sur la chaîne privée égyptienne, CBC. Après avoir répondu à cette sollicitation, je n’étais pas tout à fait sûr d’avoir épuisé le sujet.
Pourquoi la communauté financière se montre particulièrement réticente à financer les entreprises familiales ? Dans ce billet nous nous intéressons aux éléments qui structurent le processus de négociation entre firmes familiales en transition et les capital-investisseurs et les éléments de risque perçus dans ce type de relation.
Alors pourquoi « The who » titrant ce billet ? C’est un clin d’œil porté au groupe de Rock des années 70 pour marquer avant tout cette nouvelle trajectoire de l’entrepreneuriat qui redéploye l’entrepreneur-créateur (au sens de Schumpeter) à l’entrepreneur au sein même d’une entreprise, d’où son caractère anonyme car acteur-auteur dans un collectif qui agit au nom de son entreprise.
J’ai terminé mon post précédent par la phrase suivante: « Notre enseignement actuel se base hélas en grande majorité sur la mémorisation (et non la compréhension) de connaissances qui sont oubliées aussi tôt l’examen terminé. Là réside peut-être le nœud du problème. » Je souhaiterais maintenant discuter des solutions possibles que l’on pourrait envisager afin de moderniser les méthodes pédagogiques qui « sévissent » dans nos amphis et salles de classe.
Le monde connaît actuellement trois formes de chamboulement, toutes nées dans le Net, qui semblent passer inaperçues et dont nous commençons à percevoir les manifestations poindre à l’horizon. La première concerne l’accès aux informations sensibles, longtemps protégées par le secret d’Etat ou les clauses de confidentialité des grandes entreprises, et qui s’avèrent de plus en plus utiles au public pour juger de la probité de ses élites.
Les « business schools » de la région MENA se sont retrouvées il y a peu à Abu Dhabi pour réfléchir à la manière dont elles devraient préparer les entrepreneurs en devenir de la région. Parmi les sujets d’inquiétude de ces grandes instituions de formation : la préparation des successeurs des groupes familiaux régionaux.