Entreprise familiale : Suffit-il d’investir ?
Investir est, sans conteste, l’un des critères cruciaux pour le succès des entreprises familiales. Mais suffit-il d’investir ?
Investir est, sans conteste, l’un des critères cruciaux pour le succès des entreprises familiales. Mais suffit-il d’investir ?
Le populisme est un mot barbare né d’une tendance nationaliste extrême qui consiste à dévier le cours la démocratie de son lit initial, fait de débats et de délibérations, pour verser dans le sens des désirs primaires de la plèbe, sans recul ni contradiction notoire. Aussi, la montée de cette tendance dans des pays où la cité, en tant qu’agora est faible, où l’esprit critique est achevé, et où l’élite est une carpe accrochée à des rentes de situation, est une conséquence prévisible.
Quand on aime, on ne compte pas, affirmait il y a quelques années un slogan publicitaire vantant, je crois me souvenir, les qualités d’un fromage.
J’aurais envie de dire qu’en science économique c’est l’inverse : quand on aime on compte. Pour le dire plus sérieusement et sans métaphore, ce que l’économie compte et mesure n’est que la part de l’activité économique enregistrée, c’est à dire celle qui se conforme aux règles et cadres imposés par les institutions publiques et corporatistes.
La question de la délocalisation des industries manufacturières s’est trouvée subitement et simultanément, au cœur de débats nationaux aux USA, en France et au Maroc ! Chacun à sa manière bien sûr, mais il est évident que le problème du chômage- qui martyrise les décideurs et pour lequel chacun espère trouver une solution durable à sa mesure,- se profile derrière ces débats.
Ce n’est pas pour décourager, mais il semble que tous les remèdes classiques utilisés pour la promotion de l’emploi sont incapables d’assurer durablement sa relance. Les économies libérales de par le monde ont essayé toutes les recettes en vain.
Faut-il interdire Facebook dans nos écoles?
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L’autre jour, des amis réunis sans but précis, se sont mis à se chamailler à propos des rhéteurs new age, Tariq Ramadan, Michel Onfray et bien d’autres savants qui ont franchi le Rubicon des media pour y devenir des intellocrates. Certains s’attardaient sur leurs postures idéologiques et d’autres sur leur usage excessif des media. Et sur les deux points, je me suis retrouvé en désaccord avec la plupart d’entre eux. J’ai réalisé après coup que je soutenais, de bout en bout, une thèse socratique, alors que ceux qui s’opposaient à moi, étaient plutôt platoniciens.
Sandy, bien sûr l’ouragan qui a dévasté une partie des Etats-Unis dont nous avons suivi son actualité récente. Mais alors quel rapport avec le management ? Ce dont il est question ici relève des stratégies dites de rupture, stratégies qui visent à perturber un ordre local en interne : ce que l’on peut qualifier de « management par la rupture ». Afin de mieux cerner la philosophie de ces stratégies, il convient de revenir à l’étymologie du mot « rupture ».
Comment les Marocains aspirent-ils à vivre dans une « société salariale » ? Les réflexions ci-dessous apportent un éclairage sur l’évolution de la perception du travail par la société, mais aussi par les diverses formes d’introduction des entreprises en milieux urbain et semi rural.
Beaucoup d’analyste aujourd’hui critiquent les économistes pour leur incapacité à avoir prévu les crises, et plus encore la dernière. C’est à mon sens un faux problème et surtout une illusion d’optique. D’abord parce que l’économie, pas plus que les autres sciences, ne tire son utilité de ses capacités prédictives. Elle devrait valoir d’abord pour ses capacités descriptives et heuristiques. Ceux qui devraient prévoir ne sont pas les économistes mais ceux que les économistes sont censés éclairer de leur lanterne.